Un petit dans le dos !?

Publié le par dédé

Je l'attends pour cet aprèm....
    Elle m'a téléphoné ce vendredi soir. Donc je devrais être soulagée. A part que c'est le seul soir de la semaine où je suis indisponible... Soit pour cause du maintient de comptoir, soit pour le tir à l'arc... Elle devrait (aussi ) s'en rappeler.... Elle a donc laisser un message... Donc j'ai rappelé après ma scéance de tir (zen au possible le dédé).
    Je l'ai sentie distante... Je l'ai presque "joué au chantage" pour la voir. Je ne lui ai rien demandé, mais j'ai souligné que je l'avais déjà sentie distante lors de mon dernier coup de fil (il y a une semaine), qu'elle ne dis rien et que ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu... Elle s'est donc proposer de me voir cet aprèm...

    Si au début son départ fut dur, il était placé sous le signe de la rage. Avec le temps : 5 mois pour la nouvelle et 3 pour l'entrée en action, ça devint dur tout pareil car la colère passant c'est des sentiments de gâchis, d'abandon et (surtout) de fatalisme qui m'assaillent. On se résigne...
    Quand la haine et la colère (de la situation, pas d'elle ! ) partent, on se retrouve bien con. Je dois trop fonctionner à la motivation ou au "but dans la vie" pour que je me retrouve sans énergie lorsqu'on me prive de ces moteurs.
    Tout ce que je rêvais pour nous c'était d'avoir une vie à la con comme les autres, coincée entre la télé, le(s) mioche(s) et le taff. Coincé juste par le taff, je l'ai quasi tout pareil, mais sans motivation, et surtout sans elle... Nâtif d'un pays rude, fait pour baisser la tête quelle que soit l'épreuve, je continue en silence ma peine. A part ici, le reste ce n'est qu'allusions blagueuses voire graveleuse entre pudiques potes lorsque ce sujet apparait.
    Même à elle, je crois que je ne pourrais pas me confier... Je me l'interdit pour ne pas charger la mule... Et puis normalement je n'ai jamais eu d'état d'âme de coeur à cause de ma dame de coeur... Elle s'inquiéterait outre mesure...

    Comment changer cet état d'attente ? De tout façon la marche arrière est impossible. Le recollage tout aussi improbable... Reste à transformer ce fatalisme en ennuie ..., puis en action. Quand j'en aurrais marre de pleurer sur moi-même, je passerais peut-être à autre chose... En plus, elle a besoin d'aide et moi d'investissement extra-mapetitepommeperso : on devrait y arriver ! Il faut que je me lasse de ma lente lassitude assaillante. Genre demain je tombe amoureux sans  sombrer dans les questionnements de mon apport pour l'autre, que ce sera tout pareil et que tout à une fin, et qu'elle est fatalement fatale, et qu'il faut souffrir pour qu'elle soit belle (la fin ou la femme...)...

(Et je souffre...).

    Allez, elle arrive le temps de la relecture de cet article, on discute 2 heures, et je file vite lui faire un petit dans le dos avec la petite fille à La Wanda....
( dédé faudrait savoir !!!! )
   

dédé


PS et 1 heure après je viens de m'appercevoir qu'elle a tenté de me joindre sur mon portable pour m'y laisser un mots comme quoi le lapin est reporté à lundi jour de commémoroation de l'armistice...

Publié dans Béatrice

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D
Courage à toi !..... et forcément ont guérie. ça n'empèche pas les blessures... Mais c'est possible !:calin:dédé
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M
Mais peut-être que du coup tu vas avoir mieux qu'une vie à la con...peut-être que de super choses se préparent pour toi. Il faut que tu guérisses d'abord, sinon tu ne pourra pas les saisir...je suis en plein dedans, et pas assez guérie apparement.
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