Elle a oublié !
J'y ai pas le goût aujourdh'ui...
Certes je suis allé bosser avec le sourrire (critère d'embauche de mon boulot) ; je fais une petie pause pour mon midi (il est 15H05), puis j'irai siester, ou jardiner, ou écrire un article... Puis boire un coup chez le Philippe pour son dernier jour....
Mais il me manque quelquechose... (pour ne pas dire quelqu'un.... ). En fait, hier soir j'ai téléphoné à Béatrice, pour un échange de nouvelles... Oh rien de spécial... C'est juste moi qui ai appelé le premier, comme elle aurait put le faire elle aussi...
Ainsi on a parlé de conneries, de politesses, de quotidiennetés et de liens socials... Mais nous n'avons pas parler de nous (hormis le rituel "ça va ." qu'on ne sait jamais si c'est une question, un doute ou une demi-affirmation....).
Par contre, et même si j'ai rappelé, juste après, pour une bétise de plus, elle n'a pas dit un truc...
Vue que c'est elle qui est partie, elle me disait toujours qu'elle passerait tel ou tel jours, pour tel ou tel truc... Au début c'était des choses toute aussi indispensable qu'anodine (serviette de toilette, ustensiles de cuisine...) ; puis vinrent les remontées administratives (comptes en banques, lettres accumulé...) ; enfin les futiles mais plaisante (plante verte et petits meubles de chinne)...
C'est vrai que c'est pesant de venir sur les lieux de son crime, de son meutre, mais on y revient toujours non ? Faudrait peut-être que je change complétement la déco (et pourtant je m'y efforce avec de la vaissellle sale partout, du bricolage sur la moquette, des pièce condamnées de bordel...). En plus, avec les beaux jours on bougerait de ce bouge ! Rien de tel qu'une balade pour soigner le coeur et ces mots de tête...
Je le savais bien que, de tout les jours, puis tout les deux jours, pour 2 fois par semaine jusqu'à 1 fois par semaine, voire "cette semaine je ne peut pas car...." ; nos rencontres allaient s'espasser (et s'espassant)... Mais, si notre rupture est franche et adulte, elle peut se passer au ralentie non ? Encore un étage de la fusée qui part, et la mise en orbite (et sans retour possible) est plus effective, de seconde en seconde de pensée (dure plus lontemps ! )
Je me perds dans mes tristes hérements, et la siète (toujours seul !) m'appèle....Baste, je vous l'écris, car elle ne l'a pas dit donc elle ne le fera pas. Elle ne viendra pas me voir.
...ni ce soir,
...ni demain,
....et peut-être plus jamais....
Elle a oublié ?
Elle a oublié !
dédé
PS : ( dédé ? : << c'est écrit, c'est passé ! >> )
Certes je suis allé bosser avec le sourrire (critère d'embauche de mon boulot) ; je fais une petie pause pour mon midi (il est 15H05), puis j'irai siester, ou jardiner, ou écrire un article... Puis boire un coup chez le Philippe pour son dernier jour....
Mais il me manque quelquechose... (pour ne pas dire quelqu'un.... ). En fait, hier soir j'ai téléphoné à Béatrice, pour un échange de nouvelles... Oh rien de spécial... C'est juste moi qui ai appelé le premier, comme elle aurait put le faire elle aussi...
Ainsi on a parlé de conneries, de politesses, de quotidiennetés et de liens socials... Mais nous n'avons pas parler de nous (hormis le rituel "ça va ." qu'on ne sait jamais si c'est une question, un doute ou une demi-affirmation....).
Par contre, et même si j'ai rappelé, juste après, pour une bétise de plus, elle n'a pas dit un truc...
Vue que c'est elle qui est partie, elle me disait toujours qu'elle passerait tel ou tel jours, pour tel ou tel truc... Au début c'était des choses toute aussi indispensable qu'anodine (serviette de toilette, ustensiles de cuisine...) ; puis vinrent les remontées administratives (comptes en banques, lettres accumulé...) ; enfin les futiles mais plaisante (plante verte et petits meubles de chinne)...
C'est vrai que c'est pesant de venir sur les lieux de son crime, de son meutre, mais on y revient toujours non ? Faudrait peut-être que je change complétement la déco (et pourtant je m'y efforce avec de la vaissellle sale partout, du bricolage sur la moquette, des pièce condamnées de bordel...). En plus, avec les beaux jours on bougerait de ce bouge ! Rien de tel qu'une balade pour soigner le coeur et ces mots de tête...
Je le savais bien que, de tout les jours, puis tout les deux jours, pour 2 fois par semaine jusqu'à 1 fois par semaine, voire "cette semaine je ne peut pas car...." ; nos rencontres allaient s'espasser (et s'espassant)... Mais, si notre rupture est franche et adulte, elle peut se passer au ralentie non ? Encore un étage de la fusée qui part, et la mise en orbite (et sans retour possible) est plus effective, de seconde en seconde de pensée (dure plus lontemps ! )
Je me perds dans mes tristes hérements, et la siète (toujours seul !) m'appèle....Baste, je vous l'écris, car elle ne l'a pas dit donc elle ne le fera pas. Elle ne viendra pas me voir.
...ni ce soir,
...ni demain,
....et peut-être plus jamais....
Elle a oublié ?
Elle a oublié !
dédé
PS : ( dédé ? : << c'est écrit, c'est passé ! >> )